Il y a une lumière particulière. Un rythme qui s’installe. Des gens qui n’ont rien à prouver et qui le montrent bien. Ce n’est pas une ambiance qu’on impose, c’est une énergie qui circule.
Pas besoin de hurler pour exister, pas besoin de briller pour être là. On peut juste se poser, regarder autour, ou disparaître dans la foule pendant trois heures. On peut danser comme si tout allait bien, ou juste rester là, à écouter, à observer.
Il n’y a pas de consignes. Rien à performer. Juste une sensation collective qu’on a rarement ailleurs. Et c’est peut-être ça qu’on appelle la vibe.